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Affiche du dernier album de Booba, Ultra, sorti en 2021 – crédit photo : Léa Vincent
Pas de pitié. Booba se lance dans un nouveau combat, qu’il prend à bras le corps : l’arnaque aux placements de produits, les « influvoleurs », comme il les appellent. Un fléau qui dure et s’inscrit comme un nouveau modèle économique offrant aux candidats de télé-réalité un avenir plus durable qu’un essorage d’un énième programme. Leurs motivations ? L’argent, celui qui pourrit les gens. Sociétés frauduleuses, arnaques aux CPF, promotion de gaine, pilule amincissante, incitation à la chirurgie pour avoir un vagin « plus jeune »…on en a vu, des vertes et des pas mûres, mais surtout des fruits en apparences juteux ne rendre aucun goût. Face à ça, un homme, à la mâchoire aussi solide que son mental : il ne va pas plier, je le sais. Booba est entré en guerre avec la commissaire de tous ces influvoleurs et il ne signera pas de rupture conventionnelle. Que justice soit faite. Les coups sont rendus, par dépôts de plainte et communiqués interposés : le royaume du paraître va-t-il payer ? Pas de code promo. Booba, a la tête dure, et la carrure. Il ne va pas plier, je le sais.
Léa Vincent